Quel mouvement souhaites tu insuffler ici et maintenant, de quoi as tu envie, que veux tu partager, quelle vibration, quel mouvement, cela fait beaucoup de questions n’est ce pas ?

 De quoi as tu envie de parler, quels sujets souhaites tu aborder, écrire pour qui ,écrire pourquoi, est ce vraiment ce mouvement de l ‘écriture qui s’invite, si c’est le cas, fais le moi savoir.

Écrire pour décrire l’insondable, le précieux, le lumineux, les mots sont pauvres pour transmettre ce qui est, même pour un sage, les mots sont pauvres à côté de la source intarissable.

 Oui elle coule, sans cesse, toujours plus fluide, plus douce, le mouvement des mots, la danse des lettres, les lettres, pour qui veulent-elles écrire, toujours la même question, qui pose toutes ces questions, arrête- toi et écoute un instant.

« Je suis l’eau, je suis le vent, je suis la vie, douce et fluide en même temps.

 Et toi, tu m’avais oublié je crois, ou pas, je t’ai longtemps cherché croyant que tu étais perdue dans cet océan de chimères, mais je vois qu’il n’en est rien.

 Tu te souviens, de ta maison, de ta main, celle- ci si précieuse à mes yeux, donne moi ta main, j’écrirai pour toi, ne t’inquiètes pas pour les fautes d’orthographes.

Ce n’est pas important, elles portent surtout la vie, c’est bien plus précieux que les mots bien écrits. Danse avec moi, chante avec moi, dort près de moi, ne prend pas froid, met la couverture qui est juste posé à côté de toi, elle t’attendait, elle t’attendait depuis si longtemps, pour te réchauffer.

Oui, prend soin de ton corps, il est précieux, ne l’abandonnes pas, c’est ton véhicule terrestre disent certaines personnes, je te dis simplement que c’est ton corps, et que c’est toi qui l’as choisis, alors prends en soin, aime le, mais ne le sublime pas, soi juste en lien avec lui, donnes lui ce dont il a besoin, nourrit le de précieux mets, et de précieuses pensées.

Saches que je t’aime, et que je prends aussi soin de toi, bien que parfois, tu sembles l’avoir oublié, alors je te rappelles à l’heure exacte.

Si tu aimes écrire, écris, écris pour te faire plaisir, pas pour être lue, mais pour rire, et jouer, reste l’enfant précieux que tu es, tu es parfaite, rien de moins, rien de plus.

Alors soit la souveraine , tout est déjà accompli et parfait, regarde la nature, elle ne s’inquiète pas elle suit le mouvement, alors s’il existe une seule comparaison c’est celle là, regarde mère nature et prend des leçons de sagesse, elle n’attend que cela pour t’enseigner le mouvement de vie.

Alors danse, joue, et rit à en perdre la tête…..

Texte d’écriture spontanée par Taklit – les Couleurs de la Joie